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A l’occasion des Jeux Olympiques de Paris 2024, le musée Clemenceau présente du 16 avril au 14 août 2024 sa nouvelle exposition-focus intitulée Clemenceau et le sport.  Georges Clemenceau aimait le sport. Qui l’eût cru ? Cette nouvelle exposition évoque le goût du Tigre pour la chasse et les longues randonnées, tout comme l’équitation, l’épée, le cyclisme, la gymnastique et le tir.

Né après l’apparition du mouvement hygiéniste, Georges Clemenceau (1841-1929), médecin de formation,  attache une grande importance à la bonne santé du corps et considère l’exercice physique comme indispensable à l’épanouissement intellectuel.

Comme le souligne Jean-Noël Jeanneney, président de la Fondation le musée Clemenceau :

« Clemenceau a hérité cette conviction de son père : le vieil adage mens sana in corpore sano devrait être une de ses règles de vie.  Il y fut constamment fidèle, comme le montre Georges Vigarello, prestigieux historien du sport, des modes et des corps, commissaire de cette exposition. »

Sensible à la naissance du sport moderne, Clemenceau encourage la création de fédérations (USFA, la Ligue centre-ouest de football, …) et répond à l’appel de Paschal Grousset pour la création de la Ligue nationale de l’éducation physique (1888) dans l’enseignement.

Amoureux de la Grèce, Clemenceau écrit au sujet d’Olympie :

« Vingt fois je suis allé à Olympie, vingt fois ! Ah ! Olympie ! Le cirque… Vous avez devant vous cette chose… et quand en remuant la terre avec vos pieds, vous apercevez la bande blanche qui marquait le départ des coureurs, si vous ne ressentez rien, c’est que vous êtes de bois… ».

Il n’est pas surprenant qu’il encourage les Jeux olympiques quand il est au pouvoir : une première fois, en 1908, il débloque des fonds pour financer à Londres le séjour de la délégation française, puis, en 1919, il incite fortement la candidature de Paris aux Jeux Olympiques de 1924.

Et quand la pratique devient théorique ! Dans son journal Le Bloc, Clemenceau écrit sur les bienfaits du vélo tant sur la pensée que sur les progrès sociaux, dans son article « Philosophie sportive » :

« Il y a donc un affranchissement par la bicyclette, cela est indéniable. Par elle l’habitant des villes qui trimait désespérément sans horizon et sans lumière peut s’élancer hors du cercle qui l’emprisonne, et s’en aller voir autre chose.» 

          Le Bloc, 1er septembre 1901

Le parcours de l’exposition-focus présente la diversité des activités physiques de Clemenceau. Enfant, il est initié par son père à la chasse, au tir, à l’équitation et à l’escrime, arts dans lesquels il excelle.

Chasseur peu motivé par le butin, il préfère les longues promenades dans la nature. Parti aux États-Unis après ses études de médecine, Clemenceau enseigne, entre autres, l’équitation dans une école de jeunes filles. Plus tard, il collabore avec l’écuyer britannique James Fillis (1834-1913) à la rédaction d’un traité de dressage (Principes de dressage et d’équitation, Flammarion, 1890). Au même moment, sans abandonner le cheval, Clemenceau découvre un nouveau moyen de transport aussi sportif que plaisant : le vélocipède. Grisé par la vitesse de sa « folle bicyclette », ivre de grand air et d’une pleine liberté, il parcourt les environs de Paris et de la Normandie. L’homme politique et de presse fréquente assidûment les salles d’armes et pratique le duel.

Son éloquence est aussi redoutée que ses coups d’épée :

« La parole de Clemenceau est nue, trempée, aiguisée comme un fleuret. Ses discours ressemblent à de l’escrime : il cible l’adversaire de coups droits».

A partir de 1900, en raison de ses problèmes de santé et une tendance à l’embonpoint, Clemenceau doit se soumettre, six jours par semaine à une gymnastique matinale avec un coach sportif. Il continue à prendre des leçons jusqu’à ses derniers jours, comme l’atteste l’ultime reçu établi par son professeur (présenté pour la première fois). Cette activité régulière lui permet de conserver cette énergie physique et morale exceptionnelle, notamment pendant la Première Guerre mondiale.

Cette exposition-focus a reçu le label « Olympiade Culturelle ». 

Commissariat : Georges Vigarello, historien. 

Dates : du 16 avril au 14 août 2024.

 


 

CLEMENCEAU AND SPORTS

To coincide with the Paris 2024 Olympic Games, the Musée Clemenceau will present its new focus-exhibition entitled Clemenceau and Sports from April 16 to August 14, 2024. Georges Clemenceau loved sports. Who would have thought! This new exhibition will evoke the “Tiger’s” taste for hunting and long hikes, as well as horseback riding, swordsmanship, cycling, gymnastics and shooting.

Born after the emergence of the hygienist movement, Clemenceau (1841-1929), a physician by training, attached great importance to good bodily health and considered physical exercise indispensable to intellectual development.

As Jean-Noël Jeanneney, President of the Fondation le Musée Clemenceau, points out,

« Clemenceau inherited this conviction from his father: the old saying mens sana in corpore sano would be one of his rules of life.  He was constantly faithful to it, as shown by Georges Vigarello, prestigious historian of sport, social trends and bodies, and curator of this exhibition.”

Responsive to the birth of modern sport, Clemenceau encouraged the creation of federations (USFA (Union of French Athletic Sports Societies), the Centre-Ouest Soccer League, …) and responded to Paschal Grousset’s call for the creation of the Ligue nationale de l’éducation physique (1888) for education.

A passionate admirer of Greece, Clemenceau wrote about Olympia:

“Twenty times I went to Olympia, twenty times! Ah! Olympia! The amphitheater… You have before you this thing… and if you scuff at the ground with your feet, you see the white stripe that marked the start of the runners, and if you feel nothing, it is because you are made of wood…”

Not surprisingly, he encouraged the Olympic Games when he came to power: first, in 1908, he released funds to finance the French delegation’s stay in London, and then, in 1919, he strongly encouraged Paris to bid for the 1924 Olympic Games.

And practice became theory! In his journal Le Bloc, Clemenceau wrote about the benefits of cycling on both thought and social progress, in his article « Sports philosophy »:

« There’s no denying that the bicycle has liberated us. Through the bicycle, city inhabitants working desperately with no open space and no light can spring from the circle that imprisons them to go and see something else.”

Le Bloc, 1 September 1901

The exhibition showcases the diversity of Clemenceau’s physical activities. As a child, his father introduced him to hunting, shooting, horseback riding and fencing, arts in which he excelled.

A hunter not motivated by prizes, he preferred long walks in nature. He left for the United States after medical school and, among other things, taught horseback riding at a girls’ school. Later, he collaborated with the British horseman and riding master James Fillis (1834-1913) in drafting a treatise on dressage (Principes de dressage et d’équitation, Flammarion, 1890).

At the same time, without abandoning horses, Clemenceau discovered a new means of transport that was as sporty as it was enjoyable: velocipedes. Exhilarated by the speed of his “wild bicycle,” intoxicated by fresh air and complete freedom, he traveled around Paris and Normandy.

A politician and journalist, he frequented fencing clubs and practiced dueling. His eloquence was as feared as his sword thrusts:

Clemenceau’s word is stark, forged, sharpened like a foil. His speeches resemble fencing: he targets the opponent with straight strokes. »

In 1900, due to his health problems and a tendency to gain weight, Clemenceau had to undertake morning gymnastics with a sport coach six days a week. He continued these lessons until his final days, as attested by the final receipt prepared by his teacher (exhibited here for the first time). This regular activity would helped maintain exceptional physical and moral energy, especially during the First World War.

 

The focus-exhibition has been awarded label “Olympiade Culturelle.”

Exhibition Curator: Georges Vigarello, historian.

Dates: April 16 to August 14, 2024.

 

Translation of texts by Lauren Breiter master’s student Montclair State University (New Jersey) in association with the Clemenceau Museum.

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Site officiel de la Fondation du musée Clemenceau à Paris

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